Et si bouger en classe était permis : une étude sur la possibilité de concilier corps, santé et apprentissage cognitif.
37 p.
Travail écrit de recherche: Haute École Pédagogique BEJUNE, 2024
French
Et si le corps était la solution ?
Dans l’enseignement traditionnel, surtout à partir du secondaire, apprentissages cognitifs et corps restent encore largement dissociés. Pourtant des études ont montré leur liaison.
De plus, suivant le plan d'action de l'Organisation Mondial de la Santé - qui met en garde sur les effets délétères de l’inactivité et de la sédentarité - l'école, grâce à divers programmes récents, veut contribuer au développement de la santé physique et psychique des élèves en incluant les activités motrices au sein même de la classe. La question du mouvement en classe se pose aussi avec les élèves dits « à comportements externalisés » associés ou non à un trouble de l’attention avec hyperactivité. Ces élèves-là posent fréquemment un défi aux enseignants qui doivent gérer l’élève perturbateur sans engendrer des répercussions négatives sur l’apprentissage et le rendement scolaire de toute la classe.
Ce travail écrit de recherche, à partir d’une démarche mixte combinant un questionnaire et des focus-group se propose d’explorer une piste d’enseignement au secondaire 1 où les mouvements naturels du corps sont respectés, voire encouragés. Les résultats démontrent que les élèves souhaiteraient intégrer plus de mouvements dans les cours sans que ne cela péjore leur attention.
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Filière
- Enseignement secondaire
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Language
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Classification
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Education, teaching
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License
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CC BY-NC-SA
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Persistent URL
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https://roar.hep-bejune.ch/hepbejune/documents/329620